Ce n'est pas la première fois que je réalise cette pochette dont le nom m'évoque le tube des Bananarama (voir l'article "L'affaire est dans le sac").

J'ai acheté ce modèle et les fournitures chez la créatrice des sacs Malice il y a des années et je ne me lasse pas de le reproduire en variant les couleurs, les motifs et les matières. Ici, j'ai opté pour du simili cuir nude et un coton léopard.

Ce modèle me sert tant en soirée que dans la vie quotidienne car j'y mets mon chéquier, mes billets de train et autres papiers afin d'éviter qu'ils soient abimés dans mon sac à main.

Le modèle est très simple à réaliser et demande peu de matériel (une pression aimantée, un petit anneau en demi-lune et 30 cm de chaînette). La seule contrainte vient du simili cuir. En effet, à la différence d'un tissu, une fois qu'on le pique, il reste marqué. Il fait donc faire attention quand on positionne ses épingles au moment de la découpe du tissu et ne pas se rater quand on coud.

Le modèle de robe Burda 6977 est l'idéal pour une soirée habillée dans un endroit chic sans pour autant en faire trop.

Je l'ai réalisé dans un jersey de laine du marché Saint Pierre très agréable à travailler et à porter. Cette matière coûte plus cher mais comme elle contient de la laine, elle est plus chaude, ce qui est un atout non négligeable en novembre! Si on le souhaite, je pense que l'on doit pouvoir la réaliser avec en version manches longues en lui "greffant" celles du haut qui est inclus dans le patron. Comme toujours avec Burda j'ai dû pas mal raccourcir le bas. Le tissu étant un peu épais j'ai réalisé la parmenture du col dans un coton (plus fin) de la même couleur.

C’est la robe que je portais le jour où je me suis pacsée.

Mes amis commencent à avoir des bébés et qui dit bébé, dit cadeau de naissance...

J'ai opté pour la taille 12 mois car le temps de recevoir le faire part, de réaliser le cadeau et de l'expédier par la poste, le bout de chou a déjà grandi de manière exponentielle!

J'ai trouvé ce modèle dans le magazine La maison Victor (édition 3 automne 2014). Il est simple à réaliser, sauf si comme moi vous choisissez un tissu rayé! J'ai eu beaucoup de mal à faire des raccords propres car j'avais beau positionner mes épingles avec soin et tout faufiler, il y avait toujours un micro décalage! Je pense qu'en passant sous le pied de biche le tissu du dessus était légèrement poussé. Par la suite j'ai donc anticipé ce millimètre de décalage et les choses se sont arrangées, même si j'ai dû faire le deuil de la perfection...

Normalement, il fallait utiliser du bord côte pour la ceinture et le bas des jambes mais j'avais des chutes de jersey dont l'épaisseur et la couleur rouge un peu foncée me plaisaient. Or ce tissu n'avait pas la même élasticité que du bord côte, aussi j'ai dû rallonger la ceinture de 10 cm. Comme je n’avais pas de mannequin grandeur nature à la maison quand j'ai réalisé ce pantalon (j'ai bien essayé sur mes poupée mais elles étaient trop petites...) je croise les doigts pour que la taille convienne.

Voici la version bleue du pantalon Jedediah pants de chez Thread Theory. J'ai déjà cousu ce modèle issy et en version short là.

Pour mon plus jeune fils je l'ai réalisé en taille 30 (la plus petite taille). Je n'ai pas eu besoin d'apporter la moindre modification au patron. J'ai opté pour une gabardine de coton trouvée aux Tissus Reine mais il eût été préférable qu'elle soit un peu extensible pour faciliter le passage du pied (pointure 44!). J'avais été séduite par ce bleu lumineux.

C'est un pantalon classique facile à porter pour aller au collège.

J’ai réalisé cette jupe Mini de Aime comme Marie avec le tissu qui me restait après avoir fait ma veste Chloé. Je l’avais trouvé sur le stand Un chat sur un fil au CSF de l’an passé.

Par crainte que sa matière n’accroche aux collants je l’ai entièrement doublée. J’aurais cependant dû prévoir une doublure légèrement plus grande car elle est un peu serrée ...le tissu choisi n’a aucune élasticité.

Par ailleurs je l’ai rallongée de 5 cm.

C’est un bon basique que j’ai l’intention de décliner dans d’autres tissus ! 

J'ai réalisé cette robe à partir du patron Lora du magazine La maison Victor (septembre / octobre 2015 édition 5) dont je suis toujours aussi fan! Pour moi qui ne porte jamais de pantalon j'apprécie le fait que chaque numéro propose des modèles de robes toutes plus ravissantes les unes que les autres.

J'avais flashé sur ce jersey gaufré à Self Tissus car je trouvais son épaisseur intéressante pour la saison. Depuis j'ai vu qu'ils le vendaient aussi en blanc et en noir. Je l'ai d'ailleurs acheté en noir pour faire un vêtement masculin (je n'en dis pas plus car c'est pour mettre sous le sapin!).

J'ai choisi la taille 42 et je n'ai rencontré aucune difficulté particulière car les explications étaient très claires et le modèle bien coupé. Je n'ai pas eu besoin de poser de fermeture éclair dans le dos car grâce à la matière je peux l'enfiler sans problème.

J'adore ma robe car je peux la porter en toutes circonstances!

Nous avons pris les photos à la pépinière Lepage "Bord de mer" à Pleumeur-Bodou où étaient exposées les sculptures de l'artiste Christophe Milcent.

Non je ne parle pas du célèbre cabaret parisien mais d'un de mes modèles fétiches des "Sacs Malice"!

Ce petit sac est très pratique quand on ne veut prendre que le minimum et avoir les mains libres (très utile par exemple pour aller au Marché Saint Pierre avec juste son porte-monnaie et en revenir chargée de coupons...).

En version plus habillée il peut aussi convenir pour une soirée ou un mariage. Ici j'ai utilisé une toile enduite de chez Lina Morata.

La chaîne doit être de bonne qualité quitte à y mettre le prix. Elle doit être résistante et ne pas noircir les épaules des vêtements que vous portez en s'oxydant. Par souci d'économie, j'ai donc mis des mousquetons au bout de la chaînette de manière à pouvoir utiliser cette-ci sur d'autres sacs.

Voici un autre vêtement réalisé à partir du livre "Les créations de Carmen" offert par mon petit frère (bien que de fait il soit plus grand en taille...).

Le modèle est à la portée des couturières débutantes puisqu'il tient avec un double élastique mais en dépit de cette simplicité technique je trouve qu'il donne une allure sophistiquée s'il est réalisé dans un tissu fluide.

J'ai trouvé cette soie au Gentlemanu du Coupon. Cette matière le rend extrêmement agréable à porter surtout en mi saison où il fait froid le matin et chaud l'après-midi. Il me reste un grand morceau de tissu, je ne sais pas encore ce que je vais en faire, peut-être un chemisier...Par ailleur j'ai posé un passepoil en satin noir très fin au niveau des pochhes. Je trouve que cela apporte un plus au niveau de la finition.

J'ai apporté une seule modification au patron: j'ai créé des passants dans le bas et j'y ai glissé des restes d’élastiques de 3 cm de large pour resserrer le pantalon au niveau des chevilles et lui donner une allure plus féminine. J'ai piqué cette idée sur le blog Le labo d'Isa.

Pour ma deuxième chemise Madame de Aime comme Marie j'ai opté pour un tissu fluide que maman avait au fond de son armoire. Elle l'avait acheté aux Puces des couturières de Lannion. De même que pour ma première version j'ai opté pour la taille S.

Ce tissu m’a donné du fil à retordre car le fait qu’il soit si fin et fluide m’a posé quelques difficultés au niveau des finitions. J’ai bien sûr utilisé des aiguilles spéciales tissu très fin et j’ai entoilé toutes les pièces problématiques avec un entoilage fin: patte de boutonnage, col, pied de col et poignets. Enfin, j’ai triché en réalisant les parements et les sous-pattes dans un coton uni beaucoup plus facile à repasser !

J’ai également trouvé les boutons dans la réserve de maman. Ils ont été récupérés sur une vieille chemise (beaucoup plus économique que de les acheter en mercerie car il en faut quand-même douze!). Je trouvais qu’ils avaient un petit air rétro !

Voici mon dernier Maurice de République du Chiffon! (Pour voir le premier cliquez Issy). Cette fois, le tissu vient du CSF de l'année dernière. Il est légèrement extensible ce qui est essentiel pour ce genre de pantalon. 

Quand j'ai réalisé ma première version au printemps dernier j'avais opté pour la taille 36, ma taille habituelle. Or il s'était avéré que le pantalon baillait au niveau de la taille et il n'était pas assez "slim" à mon goût. Comme je l'ai expliqué dans mon premier article, je l'ai retouché en retranchant quelques centimètres sur les côtés et j'ai posé un élastique dans la partie arrière de la ceinture. Pour ce faire, je me suis éloignée des explications pour monter mon pantalon.J'ai cousu les ceintures dos (aux deux jambes dos assemblées) et les ceintures devant (à chacune des jambes devant) avant d'assembler les jambes du pantalon entre elles. Ainsi il m'a été facile de piquer les coutures latérales des ceintures dans le prolongement de celles des jambes et de retrancher le nombre de centimères nécessaires sur les côtés (jambes et ceinture). J'ai terminé la ceinture en rabattant la ceinture intérieure et en la surpiquant.

Cette fois-ci pas besoin de l'affiner sur toute la longueur des jambes puisque j'ai opté pour un 34. J'ai cependant rencontré le même problème au niveau de la taille. Je me suis alors demandée si le pantalon était fait pour être porté taille basse mais la photo du site m'a confirmé que ce n'était pas le cas.

J'ai donc monté mon pantalon de la même manière que l'autre ce qui m'a permis de retrancher quelques centimètres en partant du bas des poches et en allant jusqu'au bout des deux ceintures (intérieure et extérieure). J'ai aussi posé un élastique pour que le pantalon tienne mieux sur mes hanches. Cela m'a contrariée mais au final une fois porté, cet élastique ne se voit plus beaucoup.

La longueur était parfaite (ce qui n'est pas toujours le cas avec les autres patrons quand on mesure 1,60 m!).

Je porte ce pantalon avec ma chemise "Madame" de Aime comme Marie dont je ne me sépare plus!

Voici une jupe réalisée en un temps record et qui peut faire son petit effet!

Pour cela je n'ai suivi aucun patron car j’ai copié une jupe achetée dans le commerce.

Pour cette jupe (taille S) il m’a fallu 66 cm d'élastique (de 7 cm de large) et un rectangle de tissu (de 112 cm x 46 cm). J'ai trouvé celui-ci sur le stand de Aime comme Marie au salon CSF il y a quelques années.

Voici les explications :

Il suffit de diviser l'élastique en quatre et de marquer des repères à la craie. Faire de même pour le grand côté du rectangle de tissu.

Je faufile à la machine (avec un fil contrastant et en faisant des points longs) l'élastique et le tissu ensemble en tendant les « quarts » d'élastique pour qu'ils soient équivalents au « quarts » de tissu. Ce n'est pas facile de coudre droit et souvent la couture va de travers mais ce n'est pas grave puisqu'il s'agit d'un faux fil. Avec un fil de la même couleur que l'élastique cette fois, répéter l’opération en cousant bien parallèle au bord de celui-ci. Il faut utiliser une aiguille double pour obtenir deux coutures bien parallèles et assurer de belles fronces. Cette fois l’opération est beaucoup plus facile car le tissu est déjà maintenu par le faux fil. On peut ensuite découdre le faux fil.  

Je ferme ensuite la jupe en cousant les deux petits côtés du rectangle ensemble endroit contre endroit pour en faire un tube. Je couds aussi l’élastique dans le prolongement de manière à fermer la ceinture. Pour m'assurer de sa solidité, j'écarte la couture de l'élastique et je la maintiens écartée en cousant les deux surplus de couture.

Il ne reste plus qu’à faire un petit ourlet !

J'adore porter ma jupe avec ma chemise "Madame" de Aime comme Marie (voir l'article par issy). C'est devenu un basique de ma garde robe!

Un polo de plus! Décidément ce patron de Céline Girardeau m'inspire (pour voir les autres réalisations à partir de ce patron cliquez issy et là). Cette fois je l'ai réalisé pour mon plus jeune fils en taille S.

J'ai acheté le jersey sur le site Ma petite mercerie. Comme l'imprimé était suffisament chargé j'ai souhaité créer un contraste avec un col et des bordures de manches en jersey blanc.

C'est la rentrée, il faut reprendre le travail sous la grisaille... J'ai le moral dans les escarpins (vernis!). Rien de tel pour se remonter le moral qu'une nouvelle blouse Datura de chez Deer and Doe.

Ce n'est pas la première fois que nous réalisons ce modèle (articles par issy et là). Ce que j'aime dans ce patron c'est qu'il est déclinable en plusieurs versions et que selon le col que l'on choisit et le tissu dans lequel on le taille il peut prendre des allures très différentes. Ici j'ai opté pour le col Claudine.

J'ai trouvé ce tissu fluide aux tissus Reine. J'ai flashé sur le motif flamant rose. Avec sa touche de rouge il se marie à merveille avec l'une de mes vestes préférées! J'ai fait un petit rappel: au niveau des boutonnières et pour coudre les boutons j'ai opté pour un fil rouge et j'ai ajouté un passepoil de la même couleur.

J'ai réalisé cette robe du livre "Les créations de Carmen" pour maman. C'est mon frère qui m'a offert ce livre et il l'a même fait dédicacer par la gagnante de l'émission "Cousu main" quand elle est venue au magasin Self tissus à Lannion!

                                                    (Photo du livre "Les Créations de Carmen" M6 Editions)

Je trouvais que la forme trapèze lui allait bien mais le modèle était un peu simple. Il fallait trouver le bon tissu.

J’ai flashé sur cette dentelle aux tissus Reine cet été. J'adorais sa couleur et je trouvais le motif moderne. Il m'a fait penser au style Dolce Gabana.

                                                                          (Défilé Dolce Gabana)

Grâce à la surjeteuse, la dentelle n’a pas été problématique à travailler. Ce qui m’a pris le plus de temps a été de faufiler chaque pièce de dentelle à sa pièce de doublure pour que rien ne bouge au moment de la couture. Je l’ai un peu rallongée par rapport au modèle car elle m’avait semblé courte sur la photo.

Je pense que cette robe ne sera pas la seule que nous réaliserons à partir de ce patron…

Et un nouveau polo dans la garde robe de mon fils! 

Je lui avais déjà fait ce modèle Céline Girardeau cet été dans un jersey très graphique et coloré de chez Ya+Ka (voir l'article par issy). J'ai commandé le tissu sur le même site mais cette fois c'est pour un imprimé à l'esprit vintage que j'ai opté. 

Et oui, cette robe est bien le résultat d’un métissage entre deux patrons de chez Aime comme Marie : le bustier de la combinaison pantalon « Magnétique » et la jupe « Midinette ».

J’avais acheté le patron de la « Magnétique » dès sa sortie mais n’avais jamais réussi à trouver le tissu de mes rêves pour le réaliser. Or au marché Sainte Thérèse de Rennes je suis tombée sur ce coupon de wax (encore un…) dans lequel j’ai tout de suite imaginé cette robe bustier.

Pour « greffer » la jupe « Midinette » au bustier « Magnétique » j’ai profité de la ceinture de la jupe. Pour que les coutures des côtés s’alignent, j’ai dû rogner sur les pièces du dos du bustier mais ça tombait bien puisque j’ai une cage thoracique très fine et qu’il fallait de toute façon diminuer le bustier bien que je l’ai réalisé en taille S.

D’autre part je me suis lancée dans quelques expérimentations. Je n’ai pas entoilé la pièce D du bustier et surtout j’ai posé des baleines pour une meilleure tenue. C’était la toute première fois que j’en utilisais. J’ai suivi les précieux conseils de la vendeuse de chez Self Tissus qui m’a conseillé de poser des biais sur mes marges de coutures de manière à créer une coulisse où j’ai ensuite pu insérer mes baleines (évidemment il faut que le biais soit de la bonne largeur par rapport à la baleine). Il suffisait ensuite de fermer les coulisses à l’aide d’une petite couture. Je suis assez contente du résultat. En revanche, contrairement à ce que préconisait Marie, je n’ai pas posé de bande antidérapante et je le regrette.

Fournitures (taille S) :

-      1,20 m de tissu en 1,20 de large (c’était la taille de mon coupon de wax).

-      Fermeture éclair de 40 cm.

-      Baleines : 1m

-      Bais : 1m

(Pour le reste des fournitures, se référer au patron de Marie)

Idéale tant en robe du soir (portée avec ma pochette Vénus) qu’en journée pour bronzer sans traces !

J’ai oublié dans mon article sur les jupes « Meringues » de vous parler de ma chemise « Madame », de chez Aime comme Marie également. Je l’ai réalisée dans un tissu de chez Paul & Joe trouvé au marché d’Antony. Je l’adore car la matière est super agréable et elle va avec tout ! La preuve, je la porte tant rentrée dans une jupe que par-dessus un pantalon où encore ici nouée par-dessus une robe.

Je suis tombée sous le charme du nouveau patron "Meringue" de Aime comme Marie dès sa parution. Le modèle n'est pas compliqué à réaliser, il faut simplement être méthodique en ce qui concerne les plis pour ne pas se tromper. Je l'ai réalisé en taille S. J'ai utilisé un peu plus d'élastique que ce qui était conseillé pour être plus à l'aise. J'ai aussi utilisé une fermeture éclair plus courte de 5 cm.

Comme j'étais incapable de choisir entre ces trois imprimés chez Self tissus... j'ai acheté les trois!

J'ai eu une petite mésaventure avec l'autocollant qui marquait le début de rouleau de wax. En effet, j'ai essayé de l'enlever avec de l'eau, de l'eau écarlate puis en le passant en machine. Rien n'y a fait, le tissu demeurait collant... C'est une vendeuse de tissus africains sur le marché Sainte Thérèse de Rennes qui m'a expliqué comment il fallait procéder: il suffisait d'utiliser le fer à repasser (la colle résiste à l'eau)! Ces étiquettes autocollantes sont fréquentes sur ce style de tissus. Les deux derniers coupons que j'ai achetés en étaient porteurs. Heureusement, c'ette fois j'ai su comment m'y prendre!

Voici une version africaine du modèle Midinette de Aime comme Marie (taille S).

Je vous ai déjà parlé de ce tissu trouvé chez Emmaüs Brest car j'ai précédemment réalisé un short avec ce coupon. Je vous avais raconté ma mésaventure avec le motif mais j'avais oublié de vous faire part d'un autre détail technique. En effet, avec le wax, mieux vaut prendre deux précautions:

- Les laisser tremper dans un mélange eau/vinaigre une nuit pour fixer les couleurs et éviter qu'elles ne se ternissement au lavage.

- Les laver une fois (30°) avant de confectionner le vêtement. En effet, le tissu étant susceptible de rétrécir au premier lavage, il vaut mieux qu'il ait pris sa taille définitive avant de le couper plutôt qu'après avoir confectionné son vêtement! Après une nuit passée dans l'eau et le vinaigre, le mélange en question était devenu presque noir! Il avait énormément dégorgé. Heureusement que j’avais pris mes précautions !

Pour le reste, la jupe a été très simple à réaliser, d’autant que c’est un modèle que nous connaissions déjà. Je l’ai agrémenté d’un petit passepoil au niveau des poches pour un aspect un peu plus fini.  

Après avoir fait une première robe portefeuille pour maman , à mon tour d'en avoir une!

J'ai utilisé le même patron Butterick B5030. Il est assez simple à réaliser, d’autant que les coutures sont comprises.

J’ai trouvé ce jersey coloré au Marché Saint Pierre. Pour coudre cette matière, rien de tel que la surjeteuse de maman ! Comme pour la sienne il a fallu faire des points invisibles à la main pour faire tenir la parementure rabattue.

Elle est idéale pour les étés où le soleil joue à cache cache. Comme maman, je la porte avec un fond de robe pour assurer en cas de coup de vent !

Voici une blouse Datura de chez Deer and Doe en taille S.

J’ai opté pour des matières fluides, ce qui ne m’a pas rendu la tâche facile au moment de fabriquer le biais et surtout de le poser! La machine à biais a beau être un outil efficace, le tissu ne marquait pas les plis quand je le repassais au fer!

 J’ai trouvé ce tissu au marché Saint Pierre.

Je l’ai fini avec un biais fluo histoire de la vitaminer un peu !